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guerre civile - Page 8

  • Tranche de vie dans le RER...

    Nous reproduisons ci-dessous une chronique de Richard Millet, cueillie sur son site personnel et dans laquelle il témoigne du Grand Remplacement...

    Auteur de La confession négative (Gallimard, 2009) et de Tuer (Léo Scheer, 2015), Richard Millet vient de publier aux éditions Léo Scheer un roman intitulé Province.

     

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    Composition d’un wagon du RER, le 18/3/2017

    Dans le RER, cette nuit, au premier étage de l’avant-dernier train qui roulait vers la banlieue, je songeais que Dante avait, en son Enfer, donné les métaphores du monde contemporain. Le souterrain séjour n’est jamais de tout repos : on n’y descend jamais sans risque ; et la grande amnésie, comme l’inculture officielle, y joue le rôle du Léthé… Le train roulait à grand bruit, et la dimension infernale du wagon m’était extraordinairement sensible, comme elle aurait pu l’être aux autres passagers, s’ils s’étaient donné la peine de regarder autour d’eux ; mais c’étaient pour la plupart des zombies post-migratoires, des damnés du « vivre ensemble » idéologique.

    Cette section du wagon était surtout composée de Noirs et de Pakistanais qui, pour ces derniers, à en juger par l’odeur de graillon qu’ils dégageaient, venaient de quitter les restaurants qui les employaient. J’étais monté à Auber. Le wagon était non pas plein, mais prise chaque place où j’eusse pu être seul. Je m’étais donc, pour me ménager un espace vital, assis à un endroit comportant cinq places : trois faisant face à deux autres, ces dernières presque entièrement occupées par une assez jolie fille de race indéterminée, africaine, arabe, indienne, peut-être un mélange des trois, mince et grande, à la poitrine généreuse, vêtue comme le sont les « jeunes » urbains, mais avec ce je ne sais quoi de vulgaire qui dénote la lointaine banlieue. Elle était à demi vautrée, comme tant de tant de jeunes Français, ou administrativement assimilés, ses longues jambes tournées vers moi, sans toutefois me gêner, mais gênant le Noir à longues tresses, énorme casquette et écouteurs plus gros, encore, qui a débarqué peu après moi, et qui a dû les enjamber pour s’asseoir en face d’elle, qui n’a pas plus bougé que lorsqu’une grosse Blanche est venue s’installer près d’elle et, ne voulant pas de « problèmes », l’a fait perpendiculairement, en vaincue.

    A Chatelet-Hallal est monté un Maghrébin qui s’est glissé entre le Noir moi, sans interrompre sa conversation téléphonique en arabe. La station étant puissamment allogène, le wagon n’a bientôt plus été peuplé que d’immigrés et de leur progéniture, à l’exception de la grosse femme, d’une jeune Blanche, de l’autre côté de la rangée, et, tout au fond, d’un Blanc, quoique un peu basané, muni d’un bouc agressif, et qui allumait tranquillement un joint sans que personne protestât, fumer du cannabis en public étant un acte prochainement adoubé par Macron, ce recycleur du libéral-socialisme dont la version apparemment light devrait séduire un large électorat d’imbéciles.

    Une vingtaine d’immigrés pour trois ou quatre Blancs. Un marmot braillait. Nous étions brinqueballés, dans ce train d’enfer représentatif d’une France à venir, et par endroits actuelle, où la race blanche sera minoritaire, et notre civilisation entièrement disneylandisée, Français et néo-Français voyageant ensemble en s’ignorant, certains se surveillant néanmoins du coin de l’œil : on sentait que le moindre incident eût mis le feu aux poudres ; telle est la guerre civile, en sa dimension minimale, mais puissamment dangereuse.

    J’exagère ? Mais non : regardez ce qui s’est passé, cette semaine. Après les émeutes tribales d’un lycée de Saint-Denis, un certain Killian, prédestiné par son prénom post-civilisationnel trouvé dans une série yankee, a tenté d’imiter, à Grasse, les zombies de Columbine, sans réussir son coup, la copie ne valant jamais l’original : on a beaucoup pleuré devant les caméras, non sans omettre de répondre aux sms, l’émotion étant segmentée, et on a déclaré le proviseur un héros. À Paris, un « fiché S » a égorgé en pleine rue son père et son frère. A Orly, un « radicalisé » a été tué par un militaire à qui il avait dérobé une arme.

    Concomitants, ces faits ont des relations de cause à effet ; et ils disent l’effondrement de notre civilisation, et son abandon à Satan, sous couleur de la très progressiste inversion des valeurs. Des preuves ? Eh bien, tandis que les gauchos de Podemos réclament la suppression de la messe dominicale à la télévision espagnole, le Pape encourage le recours aux exorcistes ; c’est une bonne nouvelle, et les prêtres exorcistes auront du pain sur la planche, en ces temps où l’on voit des bobos prôner un mysticisme « sans Dieu », ce qui revient à faire croire que le Mal est un fait socio-psychologique, et non l’œuvre du Démon. À nous, aussi, écrivains, de tenter l’exorcisme.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 19 mars 2017)

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  • Quand la guerre civile ravageait la Russie...

    Les éditions Perrin publient cette semaine un livre d'Alexandre Jevakhoff intitulé La guerre civile russe 1917-1922. Historien et haut-fonctionnaire, descendant d'une famille de Russes blancs, Alexandre Jevakhoff est notamment l'auteur d'une biographie de  Kemal Atatürk (Tallandier, 1989).

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    " 1917. La révolution de Février, puis le coup d'Etat bolchevique en octobre plongent l'ancien empire des tsars dans une tragique guerre civile. Les rouges, partisans de la révolution mondiale et d'une dictature du prolétariat aussi messianique que totalitaire ; les blancs combattant d'abord et avant tout pour la défense de la patrie russe ; les paysans, essentiellement préoccupés par la propriété de la terre ; les Alliés et les Allemands, pour lesquels la Russie n'est qu'un théâtre de rivalités et d'intérêts : autant d'acteurs, souvent divisés dans leur propre camp, d'un chaos indicible. Dans une Russie aux distances continentales et à la nature indomptable, le conflit, cinq ans durant, désintègre l'Etat et la société dans une violence inouïe qui totalise environ 10 millions de victimes.
    Pour mieux cerner les implications profondes de cet événement dantesque, et le raconter, il fallait la connaissance intime de l'âme russe d'Alexandre Jevakhoff. Sous sa plume se lisent l'immensité et la diversité d'un champ de bataille où se déroule une guerre de mouvements, où s'impose un système terroriste, où s'affrontent des hommes que tout semble opposer. Alors que les dirigeants rouges – Lénine, Trotski, Dzerjinski, Staline – portent partout le fer et le feu de la révolution, les généraux blancs – Alekseiev, Kornilov, Denikine, Koltchak, Vranguel – découvrent les intransigeances d'une guerre civile à laquelle ils n'ont pas été préparés et qui les oblige, comme nombre d'intellectuels et d'hommes politiques, à accepter un bouleversement mental et moral.
    Le résultat de ce travail de longue haleine, alimenté en particulier par des archives russes, est exceptionnel : il s'agit de la première étude complète et dépassionnée de ce moment méconnu mais essentiel de l'histoire du XXe siècle. "

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  • De la percée idéologique à la percée politique ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Patrick Buisson à Charlotte d'Ornellas pour Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque, outre son livre La cause du peuple (Perrin, 2016), le combat entre « les enracinés du local » et « les agités du global », l’absence de culture de la classe politique, l’identité, l’amitié française, le lien social, les enjeux métapolitiques, la révolution conservatrice, le fait religieux, le sursaut identitaire, la possible guerre civile et son espoir de voir le début d'un nouveau cycle politique...

     

                                     
                                      Patrick Buisson : "Cette percée idéologique... par bvoltaire

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  • Calais et la France des ghettos : vers la guerre civile ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Lhomme, cueilli sur Metamag et consacré à la menace que font peser sur la stabilité et la paix de notre pays l'invasion migratoire et l'idéologie multiculturaliste... Professeur de philosophie et journaliste, Michel Lhomme est un collaborateur régulier de la revue Krisis.

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    Calais et la France des ghettos : vers la guerre civile ?

    Tous les derniers faits divers survenus ces derniers mois à Brunoy, Agde, La Courneuve , Nantes, Nanterre, les Yvelines, attestent de l’irrémédiable. On semble bien approcher du jour où tout s’embrasera, le grand soir de Guérilla, le jour où tout s’embrasa décrite par Laurent Obertone  dans son dernier ouvrage.

    On apprend  que le fichier des 15 000 radicalisés comprend 18 % de mineurs, la justice française ne prononçant la plupart du temps que des « rappels à la loi », faute de places dans les prisons. On récite en chœur, éploré, les droits de l’homme et ceux de l’enfant. On lit aussi dans Le Parisien que pas une semaine ne se passe en Seine St-Denis  sans qu’on y découvre une arme de guerre.

    Alors est-ce trop tard ?

    C’est un peu ce que veulent nous dire les policiers en colère. Il faudra se défendre seul puisqu’il n’y a plus de voitures de police ou qu’elles servent à protéger en priorité des édifices religieux.

    En un week-end, les garde-côtes italiens ont secourus pas moins de 5.700 personnes durant ces dernières 48 heures. La conjonction de vagues migratoires hors de contrôle, d’attentats terroristes de grande ampleur et d’une délinquance au quotidien devenue insupportable pourrait bien dessiner les traits de la France vers laquelle nous allons : une France ghettoïsée, conflictuelle.

    Les tenants de la société multiculturelle pensent toujours que la diversité des communautés allogènes implantées sur tout le territoire constituera un enrichissement pour le pays  par la multiplication des échanges et le croisement des cultures qu’elle suscitera. Cela est vrai quand les dites communautés ne sont qu’une minorité, trop réduite pour rester dans l’entre-soi et pour apparaître comme une menace, Ce ne peut plus, sociologiquement, être le cas lorsque le seuil de tolérance est atteint.

    En effet, lorsqu’on est encore dans une perspective minoritaire, chacun de ses membres a encore de fortes chances de s’assimiler au mode de vie des autochtones,. Quand les autochtones ne sentent pas leur primauté remise en cause, ils se montrent souvent accueillants et ouverts aux échanges mais il n’en est plus de même quand les dites communautés se font nombreuses. Le problème de la religion et de l’Islam n’est pour nous qu’une manière de piéger le débat migratoire en le dépolitisant.

    Il y a donc en France la construction d’une République des camps, de mini camps comme celui en formation à Dieppe ou de véritables ghettos comme le sont devenus la plupart de nos quartiers populaires. En France, la reprise de la fécondité immigrée depuis quinze ans est un marqueur fort de la communautarisation en cours. A terme, c’est bien une société d’apartheid, une société à l’israélienne qui se construit telle que l’Allemagne en a montré l’exemple depuis longtemps. A Berlin, il n’y a pas d’Allemands dans les quartiers turcs et très peu de Turcs dans les quartiers allemands. Ainsi, plus les populations immigrées seront importantes, plus la séparation sera grande.

    Le démantèlement de la Jungle de Calais est suivi du saupoudrage sur tout le territoire des illégaux. La France multiculturaliste, généreuse de Touche pas à mon pote s’achève dans des camps et des quartiers fermés. Nous sommes le pays des frontières intérieures et du séparatisme communautaire, une France de cavernes dans les falaises et de tentes sous les bois qui sera demain couvertes de barbelés et bourrées d’agents de sécurité.

    Des pays comme le Liban, la Bosnie, Ceylan et toute l’Afrique ont pourtant montré que des communautés ethniques et religieuses d’importance comparable ne peuvent coexister longtemps de manière pacifique, Sans aller jusqu’à évoquer une guerre civile ouverte, ce qui est certain c’est que la démocratie française ne pourra pas prospérer dans une communauté totalement hétérogène. L’hétérogénéité multiculturelle est en effet forcément fatale à la démocratie. C’est une loi historique  que, plus une société est hétérogène, plus il lui faut un pouvoir fort pour y maintenir la paix civile. La société israélienne qu’on nous vante tant et qui est même devenu en coulisses le modèle programmé du Ministère de l’Intérieur et des responsables de Les républicains est en réalité la société du rapport de force permanent. Israël ne tient que parce que l’un écrase l’autre . C’est la force et l’autoritarisme qui sont les seuls modèles politiques d’un multiculturalisme qui fonctionne.

    Quand le pouvoir socialiste proclame son attachement aux valeurs républicaines, il conforte chaque jour sa légitimité par une gesticulation sécuritaire qui entretient la psychose de l’attentat, habituant ainsi insensiblement les esprits citoyens à un régime d’exception. En même temps, l’idéologie officielle de la tolérance et de la bienveillance, transmise à l’école, à la télévision et dans la presse imagine une politique d’accueil large et généreuse qui rendra les gens meilleurs et la société plus prospère et démocratique. Certains sont même prêts à faire émerger cette société vertueuse par la force d’une loi impitoyable (la judiciarisation du politiquement incorrect et la censure d’internet). Ce n’est pas la première fois dans l’histoire contemporaine que les bons sentiments amènent des catastrophes; c’est même plutôt là la règle que l’exception.

    C’est le tweet menaçant et rageur de Manuel Valls : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux ». N’en doutons pas !

    Michel Lhomme (Metamag, 10 novembre 2016)

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  • Le jour où tout s'embrasa...

    Les éditions Ring publient demain le nouveau roman de politique-fiction réaliste de Laurent Obertone intitulé Guérilla - Le jour où tout s'embrasa. Journaliste et écrivain, Laurent Obertone est l'auteur de deux essais marquants La France Orange mécanique et La France Big Brother ainsi que d'un récit puissant, Utøya, consacré à la tuerie commise par Anders Breivik...

     

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    " Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.
    La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.

    Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.

    Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.
    Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage. 

    Les événements décrits dans Guérilla reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d’agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef d’œuvre Utøya (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène La France Orange Mécanique livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile. "


    Guérilla, de Laurent Obertone

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  • Demain la guerre civile ?...

    Le nouveau numéro de la revue Eléments (n°162, septembre - octobre 2016) est disponible en kiosque à compter de demain, 17 septembre 2016.

    A côté du grand entretien avec Alain Valterio et du dossier consacré à l'enlaidissement du monde,  on trouvera les rubriques, toujours aussi riches, «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama».

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial    
    La fin du capitalisme par Alain de Benoist

    Forum    

    L’entretien
    Alain Valterio, un psy contre les psys    

    Cartouches
    Le regard d’Olivier François : nos amis les pirates

    Hommage : La mort d'Ernst Nolte

    Polémique : Patrice de Plunkett accuse, Éléments répond

    Une fin du monde sans importance par Xavier Eman

    Cinéma : 40 raisons d’aimer Fritz Lang par Ludovic Maubreuil

    Champs de bataille : Verdun II par Laurent Schang

    Comprendre la Corée du Nord par David L'Épée

    Le protectionnisme par les normes. La vraie liberté par Fabien Niezgoda

    Sciences par Bastien O'Danieli

    Le combat des idées
    La tentation de la guerre civile par Pascal Eysseric

    L'ennemi de l'intérieur. Entretien avec Jean-Yves Camus

    Portrait d’une cinéaste : Cheyenne-Marie Carron par Ludovic Maubreuil

    Entretien : Cheyenne-Marie Carron : « Je suis une catho-païenne »

    Humeurs : Les femmes iront en enfer par Stéphanie-Lucie Mathern

    La haine du sexe par David L'Épée

    Le scandale des antibiotiques par Jean-François Gautier

    Entretien avec Diana Johnstone : Avec Hillary Clinton, les néocons sont de retour !

    Dissection de l'Occident ménopausé : entretien avec Xavier Eman

    L'adieu au progressisme. Les "conservateurs de gauche" sont-ils des poissons volants ? par Alain de Benoist

    Bienvenue dans le domaine public. Le grand retour de Drieu La Rochelle par Frédéric Guchemand

    Jean-Louis Curtis dans les forêts de la nuit par Thomas Hennetier   

    Dossier
    Pourquoi notre monde devient de plus en plus laid par Pascal Eysseric

    Le règne de la quantité et le triomphe de la laideur par Olivier Rey

    Du genre humain au genre urbain. L’enlaidissement des villes par Pierre Le Vigan

    L’art européen, la science du beau par Jean-François Gautier

    L'esthétique au regard de l'évolution. La biologie du beau par Yves Christen

    L’invention du marché de l’art contemporain par Aude de Kerros

    Angers, l’ex-Athènes de l’Ouest par Michel Marmin

    Architecture, année zéro. L'institutionnalisation du vandalisme par Kostas Mavrakis       

    Panorama
    L’œil de Slobodan Despot

    Série télé : Turn, naissance d'une nation par Frédéric Dufoing

    Philosophie : Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ? par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : New Delhi par Solange Bied-Charreton

    C’était dans Éléments : L’agonie de la ville par Michel Marmin

    Éphémérides

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